Les éléments importants à prendre en compte

Les pièces détachées ne se valent pas toutes. En effet, ils se différencient non seulement par la marque, mais aussi par la qualité. Chaque pièce de véhicule a sa particularité. Pour ce faire, il est utile de s’attarder sur certains points avant de passer à la caisse comme la marque, l’année, le modèle, le type et la référence de l’auto.

Obtenir l’avis d’un professionnel

Pour vous faciliter la vie, il n’y a rien de mieux que l’avis d’un professionnel. Certes, vous pouvez bien entendu vous appuyer sur le nom et la référence de la pièce lors de la recherche, mais il reste toujours indispensable de faire appel à un expert en mécanique automobile. Il saura vous conseiller sur le choix d’une pièce de première qualité. En outre, le professionnel sera votre aide pour le démontage et le montage des pièces. Mais avant un quelconque achat, le diagnostic du problème est primordial.

Rechercher sur internet

L’internet est un bon allié pour dénicher des pièces détachées pour voiture. Avec le commerce en ligne, il ne faut pas attendre trop longtemps pour trouver ce que vous recherchez. C’est un excellent moyen pour acheter des pièces pour voiture sans trop se casser la tête. Qui plus est, en seulement quelques minutes, vous pouvez faire le tour de nombreuses boutiques en ligne qui vendent des pièces de rechange de quatre-roues. Aussi, leurs tarifs sont plus abordables par rapport à des magasins physiques.

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Identifier précisément les références des pièces de carrosserie

Avant toute chose, cherchez les références des pièces dont vous avez besoin. Chaque pièce de carrosserie est spécifique à un modèle et une année de véhicule.

Relever les numéros de série

En complément du manuel, n’hésitez pas à relever directement les numéros de série inscrits sur les pièces à remplacer. Ces informations vous permettent d’être certain de commander les bonnes références des pièces de carroseries poids lourds dont vous avez besoin. Prenez cette tâche très au sérieux pour votre sécurité !

Consulter le manuel du véhicule

Le manuel d’entretien et de réparation fourni par le constructeur est une excellente source d’information. Il contient généralement les numéros de référence des pièces d’origine et des vues en éclaté de la carrosserie.

Privilégier la qualité des pièces de carroserie pour poids lourds

La carrosserie joue un rôle essentiel dans la protection et l’intégrité du véhicule. De ce fait, misez sur des pièces de qualité : la fiabilité et la réussite de la réparation en dépendent aussi.

Opter pour des pièces d’origine ou de qualité équivalente

Dans la mesure du possible, privilégiez l’achat de pièces d’origine provenant directement du constructeur. Si votre budget ne vous le permet pas, orientez-vous vers des pièces de qualité équivalente proposées par les équipementiers.

Éviter les pièces bas de gamme

Résistez à la tentation d’acheter des pièces bon marché dont la provenance et la qualité sont incertaines. Sur le long terme, vous risqueriez de devoir renouveler la réparation et de compromettre votre sécurité à bord du camion.

Comparer les prix et les délais d’approvisionnement

Le coût des pièces pour la carrosserie des poids lourds peut rapidement s’envoler. Pour contenir vos dépenses, prenez le temps de comparer les offres de différents fournisseurs spécialisés dans les pièces de carrosserie.

Obtenir plusieurs devis

Contactez plusieurs revendeurs et demandez-leur des devis détaillés mentionnant le prix unitaire des pièces de carrosserie, les éventuels frais de livraison et les délais d’approvisionnement. Vous pourrez ainsi choisir ce que vous pensez être la meilleure offre.

Anticiper les commandes

Pour éviter l’immobilisation prolongée de votre véhicule, anticipez vos commandes de pièces détachées. Tenez compte des délais de livraison, surtout si les pièces doivent être acheminées depuis une autre région.

Vérifier la compatibilité de la pièce de carrosserie avec votre poids lourd

Avant de finaliser votre achat, assurez-vous une dernière fois que les pièces sélectionnées sont compatibles avec votre véhicule.

Fournir les informations détaillées du véhicule

Lors de votre commande, n’oubliez pas de transmettre au vendeur toutes les informations sur votre poids lourd :

• marque,
• modèle,
• année,
• type de motorisation,
• finition,
• etc.

Certains équipements optionnels peuvent nécessiter des pièces spécifiques. Avant de valider la commande, demandez au vendeur de vous confirmer que les références des pièces correspondent bien à celles que vous avez identifiées au préalable. Cette ultime vérification vous évitera de mauvaises surprises.

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Vidanger le véhicule au bon moment

Comprenez bien que le bon fonctionnement et la durée de vie du moteur dépendent de sa lubrification. Ainsi, il est important de vidanger le véhicule au bon moment. Cela peut se faire en se basant sur le kilométrage ou intervenir tout simplement une fois par an. Pensez à demander l’avis d’un spécialiste pour le choix d’huile moteur à utiliser. En effet, les moteurs sur les voitures de collection sont complètement différents de modèles actuels. C’est pour cette raison que vous devez bien choisir l’huile à utiliser sur votre véhicule de collection.

Vérifiez les pneus de temps en temps

Une défaillance des pneus peut causer un accident pouvant être mortel. De ce fait, vous devez prendre le temps de vérifier régulièrement l’état des pneus de votre véhicule. N’oubliez pas que la majorité des voitures de collections roulent avec des chambres à air dans les pneus. Ce type de pneumatique peut être difficile à trouver. Pensez en même temps à vérifier régulièrement l’état de vos pneus avant de prendre la route.

Inspectez les pièces importantes de la voiture

Le filtre à air fait partie des pièces les plus importantes sur une voiture de collection. Il assure la filtration de l’air qui se dirige vers le moteur. Un filtre à air bouché peut avoir un impact sur le bon fonctionnement du moteur. Vient ensuite le radiateur qui doit être nettoyé de temps à autre pour éviter l’apparition de tartes et de rouilles. Il ne faut pas non plus négliger la batterie qui peut manifester un suintement d’acides corrosifs pour le véhicule.

D’autres points d’entretien à ne pas négliger

Il est plus judicieux de bien protéger la carrosserie ainsi que les cuirs du véhicule quand vous ferez un entretien. Au volant, il est plus judicieux de ne pas surcharger le véhicule. Cela peut avoir un impact sur son état, mais aussi la facilité de conduite. Puis, il est important de bien choisir le lieu de stockage du véhicule pour ne pas le détériorer rapidement. Évitez par exemple de l’exposer aux caprices de la météo. Assurez-vous que votre garage ne soit pas humide et équipé d’un climatiseur.

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Le budget disponible

Vous trouverez toute sorte de modèles avec leur prix sur le site pro. Le prix d’achat est votre premier critère de choix. Vous devez coûte que coûte fixer un budget réaliste pour l’achat du véhicule. N’oubliez pas d’intégrer les coûts additionnels dans votre budget. Ce sont les coûts d’entretien, le prix de l’assurance et, éventuellement, les dépenses que vous ferez pour des travaux de modifications ou d’améliorations. Vous savez maintenant le montant que vous êtes prêt à mettre sur votre futur van d’occasion. La prochaine étape consiste à trouver le vendeur.

Le lieu d’achat

Choisissez un revendeur réputé et fiable qui possède un site internet. La fiabilité dépend de plusieurs conditions. Par exemple, le revendeur a établi une charte qui détaille ses engagements. Un revendeur qui possède un réseau national est également fiable. S’il a réussi à se développer, c’est qu’il a su instaurer la confiance chez ses clients. Focalisez-vous également sur son service après-vente. Enfin, passez au crible les garanties que le revendeur est en mesure de vous accorder et renseignez-vous auprès de lui s’il peut vous proposer ou recommander un système de financements.

La décision finale

Le design de la voiture est essentiel. Mais, il y a plus important. Déjà, informez-vous sur l’historique du véhicule. Demandez au revendeur les dossiers d’entretien. Vérifiez le kilométrage. Ensuite, lancez une inspection mécanique. Dans la mesure du possible, faites inspecter le véhicule par un professionnel. Assurez-vous que les dimensions du van correspondent à vos besoins. Il doit également être facile à conduire, d’où la nécessité de faire un essai routier. C’est l’occasion pour vous d’évaluer, hormis la conduite, le confort ainsi que la maniabilité du véhicule. Étudiez, en outre, la consommation de carburant. Enfin, soyez attentif sur les équipements intégrés tels que la climatisation, la cuisine intégrée, les lits, etc.

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Transport aérien

Ce mode de transport consiste à transporter les marchandises en avion. Le transport aérien est un mode de transport hyper rapide. En plus, c’est le moyen le mieux adapté pour le transport des marchandises en toute sécurité, car dans les aéroports, des gendarmes contrôlent constamment les chargements et les déchargements afin d’assurer la sécurité des marchandises. Par contre, ce mode de transport présente aussi quelques inconvénients. Le principal inconvénient est les frais de transport. Car oui, ce mode de transport coûte cher. Puis, pour pouvoir expédier ses marchandises en avion, il vous faut un aéroport à proximité. Et enfin, vos marchandises seront obligées de passer par la douane.

Transport routier

Généralement, les transports routiers des marchandises sont assurés par les camions. En effet, nombreux sont les avantages de ce mode de transport. Premièrement, ce mode de transport peut effectuer une expédition porte-à-porte des marchandises. Deuxièmement, par rapport aux autres modes de transport, le transport routier est économique, car les frais de transport sont moins élevés. Troisièmement, que ce soit pour une longue ou une courte distance, le transport routier est hyper pratique. Et enfin, quatrièmement, les livraisons sont plutôt rapides. Par contre, la rapidité de ses livraisons dépend de la fluidité du trafic routier.

Transport maritime

Ce mode de transport consiste à expédier les marchandises en bateau. Généralement, les marchandises internationales y sont transportées. Cela s’explique par le fait que l’expédition des marchandises par navire de charge est plus économique par rapport au transport aérien. Puis, elle peut transporter n’importe quels types de marchandises. Mais, par contre, la durée d’acheminement de ce mode de transport est assez longue. Puis, le transport maritime est soumis aux conditions douanières.

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Une assurance auto intégrale

Pour bénéficier d’une telle protection, vous avez besoin de souscrire soit une assurance tous risques soit une assurance auto tous accidents. La première est également connue sous l’appellation « garantie dommages tous risques ». La seconde est plus communément appelée « garantie dommage tous accidents ». Elles appartiennent à la catégorie des garanties facultatives, car elles complètent l’assurance auto obligatoire. Cette dernière prend en charge l’indemnisation des tiers tandis que les deux autres vous indemnisent. En gros, une assurance auto facultative et une assurance auto obligatoire se complètent pour couvrir les dommages subis par votre voiture, par les autres véhicules et par les personnes. En plus, les deux garanties facultatives vous offrent des options très intéressantes. Par exemple, vous bénéficiez d’une assistance en cas de panne. Vous profitez même d’une protection juridique dans certains cas.

Le prix d’une telle assurance

Il n’y a pas une seule réponse à cette question. Selon cet Article sur lepoint.fr, les prix sont différents d’une compagnie à l’autre, d’un profil de souscripteur à l’autre. Autrement, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte pour la détermination du coût des assurances auto tous risques et tous accidents. Un assureur commence toujours par l’analyse de votre situation personnelle : votre âge, votre sexe, votre lieu de résidence, la durée de détention de votre permis de conduire, le nombre de fois où vous avez été impliqué dans un accident, etc. Leur objectif est de savoir si vous êtes un profil à risque ou non. La compagnie se focalise aussi sur :
— les caractéristiques de votre véhicule,
— la formule de paiement que vous comptez adopter (annuelle par exemple),
— l’étendue de la couverture (garanties auxquelles vous souhaitez souscrire, les franchises, etc.).

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Une jungle administrative

On peut dire que l’univers administratif des deux-roues est une jungle dans laquelle il est difficile de fixer son choix. Alors, si vous comptez rouler avec une motocyclette d’une cylindrée en-dessous de 125 cm³ et dont la puissance est de 11 kW au maximum, il vous faut le permis A. Si vous optez pour un deux-roues de 50 à 125 cm³, c’est plutôt un permis B que vous devez viser. Comme c’est le cas pour rouler avec un scooter trois-roues de plus de 15 kW, en plus du permis, vous devez aussi suivre une formation de 7 h. Mais pour une motocyclette dotée ou non d’un side-car, vous devez obtenir le permis A2. Après 2 ans de permis et une formation de 7 h, vous pourrez accéder au permis de catégorie A.

ASR ou BSR

ASR veut dire Attestation de Sécurité routière et vous pouvez l’obtenir pour conduire un deux-roues à la cylindrée inférieure ou égale à 50 cm³ si vous ne possédez pas l’attestation scolaire de sécurité routière ou ASSR. Voici les conditions pour son obtention : ne pas avoir l’ASSR, être né après le 1er janvier 1988 et avoir moins de 16 ans et ne pas être en apprentissage ni scolarisé. C’est grâce à ce document que vous pouvez ensuite passer le BSR. Le BSR, pour Brevet de Sécurité routière, autorise un enfant à conduire un cyclomoteur de 50 cm³ dès l’âge de 14 ans.

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Déterminez l’utilisation de votre moto électrique

À part votre motivation de rouler sur du « deux roues » économique et respectueux de l’environnement et bien évidement d’honorer votre sang de cycliste ou de motard, vous devez, avant votre premier achat, avoir une idée claire de la principale utilisation de votre moto électrique. En d’autres mots, il s’agit de déterminer vos besoins en termes de conduite et de choisir le modèle qui y correspond.

Cela inclut de savoir :

– la nature de l’itinéraire sur lequel vous conduisez chaque jour (les rues de la ville, les zones rurales, les autoroutes, etc.)
– la fréquence de votre conduite sur la route

Après avoir dressé la liste de vos besoins en termes de conduite, vous pourrez ensuite passer à l’étape suivante qui est de choisir les caractéristiques répondant à ces derniers.

Répertoriez les caractéristiques de votre moto électrique

La moto électrique étant différente de la moto à essence, pour en savoir plus, vous pouvez visiter le site d’un spécialiste en vente de moto électrique de différentes marques. Avant d’en acheter, il faut tenir compte de plusieurs facteurs :

L’autonomie

Elle se rapporte à la distance réelle que votre moto électrique pourrait parcourir par charge. Il est à noter que cette distance s’estime en prenant compte de nombreux facteurs, tels que : le trafic, le type de route, les conditions météorologiques, la taille, le poids et les aspects techniques de votre moto ainsi que votre style de conduite.

La puissance

Elle fait référence à la capacité de votre moto électrique quand vous roulez dessus. Pour mesurer la puissance d’un modèle, il faudra vous référer aux indications telles que la puissance du moteur et de la batterie (mesurée en kilowatts) de la moto, le couple de la moto, plus il est élevé, plus l’accélération est impressionnante et la vitesse qui va dépendre dans son ensemble à la puissance du moteur et au poids de l’engin.

Les facilités offertes par le modèle

Il s’agit de l’aspect visuel et ergonomique de la moto, du temps de recharge de la batterie, du type de chargeur intégré à la moto électrique, de la disponibilité des bornes de recharges sur votre itinéraire et sans oublier l’existence de fonctionnalités avancées et de connectivité sur votre moto électrique.

Déterminez les avantages financiers de votre achat

Le budget

Les motos électriques existent dans plusieurs modèles et bien évidemment pour tout type de budget. En effet, si elle était initialement réservée aux classes des supers-riches soucieux de l’environnement, le regain d’intérêt des consommateurs sur cette dernière a incité les industries fabricantes à créer des modèles accessibles au grand monde. En effet, en plus de la satisfaction que vous aurez à rouler sur votre moto électrique, l’un de ses autres nombreux avantages réside dans le fait que votre empreinte carbone sera nettement réduite et vous participez ainsi à sauvegarder la planète.

La garantie

Tous les fabricants et vendeurs de moto électrique sont tenus de fournir une garantie en faveur du consommateur qui achète. En effet, pour tout achat légal, vous disposez de trois garanties : la garantie constructeur, la garantie contre les défauts cachés et la garantie légale de conformité.

Le mot d’ordre pour faire le bon choix est donc de vous référez à vos besoins, les caractéristiques qui répondent à ces besoins et de faire un bilan de vos finances ainsi que de penser au long terme.

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Entretien d’un moteur à essence

On fera attention de respecter ces quelques conditions pour garantir la santé de sa voiture à essence. Chaque année, il faut penser à vidanger l’huile moteur après 10 000 km parcourus. Au moment même de la vidange, le recours à un nouveau filtre à huile est important. Par la même occasion, on ne manque pas de faire des vérifications en observant le niveau de liquide de refroidissement. Cette opération doit se répéter de manière assez régulière, toutefois, il est recommandé de le remplacer environ tous les ans. Au fil du temps, il perd de sa fiabilité et de ses propriétés. On n’oublie pas de jeter un œil sur la courroie de distribution, à changer elle aussi tous les 60 000 km pour les nouveaux véhicules, tandis que pour les anciens modèles, on n’attend pas aussi longtemps, au bout de seulement 24 000 km, on procède à son remplacement.

Entretien des équipements électriques

La bonne qualité des installations et équipements électriques participe à l’entretien d’une voiture à essence. Il convient dans ce cas de vérifier la batterie dès qu’elle manifeste des signes de faiblesse, c’est-à-dire en affichant une tension inférieure à 11,7V. L’alternateur qui est l’élément fournissant le courant électrique lorsqu’il épuise ses ressources, doit être changé afin d’assurer son fonctionnement au niveau du moteur. Les bougies d’allumage sont à revérifier tous les 15 000 km, en dehors des modèles équipés d’électrode centrale en platine. Il y a aussi les ampoules de feux qui nécessitent d’être régulièrement visités.

Autres éléments à vérifier

D’autres éléments sont à revérifier lorsqu’il s’agit de l’entretien d’une voiture à essence, notamment les freins, les amortisseurs, l’embrayage, les essuie-glaces, le lave-glace, et la climatisation. Tous ces éléments se joignent et se combinent afin d’améliorer la performance du véhicule une fois sur le circuit. Alors, à vos marques !

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1. Le prix

Le prix est généralement la première chose que vous regardez mais assurez-vous que ce n’est pas la seule chose que vous regardez. Les compagnies d’assurance automobile incluent souvent des suppléments gratuits ou des extras pour rendre leurs produits plus attrayants. Commencez par regarder ce qui est inclus et ce qui ne l’est pas pour avoir une meilleure idée de ce que vous payez réellement. N’oubliez pas que les assureurs automobiles calculent le montant que vous payez sur la base de toute une série d’informations. Ce n’est pas parce que votre ami a bénéficié d’une offre exceptionnelle sur son assurance auto que vous en ferez autant, même si vous conduisez une voiture similaire.

2. La franchise

La franchise est le montant que vous devez payer lorsque vous faites une réclamation pour des dommages à votre voiture. Les assureurs l’utilisent pour empêcher les gens de faire des réclamations trop souvent. Il en existe deux types : la franchise obligatoire qui est fixée par votre assureur et ne peut être négociée et la franchise volontaire. Il s’agit ici d’un montant que vous pouvez ajouter si vous souhaitez faire baisser le coût de votre assurance. Certains types de sinistres font l’objet d’une franchise distincte comme les franchises pour le remplacement et la réparation du pare-brise. Celles-ci sont généralement inférieures à votre franchise pour dommages accidentels, incendie et vol. Si vous n’êtes pas sûr de pouvoir payer votre franchise, vous pouvez souscrire une police d’assurance distincte qui prend en charge votre franchise. Certains types de couverture juridique vous permettent également de le faire.

3. Le type de couverture

Toutes les polices d’assurance automobile ne sont pas égales. Il existe différents niveaux de couverture. Les trois principaux sont l’assurance au tiers, l’assurance au tiers plus et l’assurance tous risques.

– L’assurance au tiers Cela signifie que si vous avez un accident (et qu’il est de votre faute), votre compagnie d’assurance automobile paiera pour la réparation de la voiture de l’autre personne mais elle ne couvrira pas les dommages causés à votre voiture. Elle couvre également les blessures subies par les piétons ou les passagers.

– Assurance au tiers plus Le niveau supérieur est appelé « assurance au tiers plus ». C’est la même chose que l’assurance au tiers mais elle vous couvre également si votre voiture est volée ou endommagée dans un incendie.

– L’assurance tous risques Ensuite, il y a l’assurance automobile « tous risques ». Cette police vous protège contre les dommages causés à votre voiture, même si vous en êtes responsable.

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Comme vous l’aurez compris, la souscription d’une assurance automobile est une vraie étape avec plusieurs facteurs à analyser. Si vous êtes à la recherche d’une compagnie à qui faire confiance, n’hésitez pas à vous tourner vers MAIF, les experts de l’assurance automobile depuis maintenant plusieurs années. Rendez-vous sur leur site pour plus de renseignements.

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